Vidéosurveillance : les caméras continuent d'envahir nos campagnes

Alors que le passe sanitaire à QR code, le vote électronique, la numérisation de toutes les démarches du quotidien inquiètent les associations de défense des libertés individuelles et collectives, la reconnaissance faciale, corolaire de la vidéosurveillance de masse, gagne du terrain dans les zones rurales.

On les imaginait dans le métro, embarquées dans le bus, plantées dans le sas de sécurité des agences bancaires ou dans l’entrée des pavillons des particuliers, mais les caméras de vidéosurveillance sont désormais dans les crèches des bambins, au portail des écoles maternelles, au niveau des passages piétons ou encore… dans les rues principales des bourgs de campagne. Au nom de la lutte contre les « incivilités », comme si la surveillance permanente garantissait une sécurité pleine et entière à chacun, les caméras de vidéosurveillance essaiment dans des provinces peu populeuses et en apparence tranquilles.

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