ACCÈS LIBRE Graphe 24/06/2022 LA CROISSANCE POST-COVID, C'EST TERMINÉ : LA RÉCESSION ARRIVE Inflation, faibles augmentations de salaire, hausse des impôts, crise internationale : tout... Par Olivier Berruyer
Entretien 05/06/2022 « La politique de ruissellement est complètement stupide. » Alain Boublil Par Olivier Berruyer
Entretien 29/05/2022 « Les dogmes économiques fous nous conduisent à la catastrophe » J. de Larosière Par Olivier Berruyer
LOMBARD STREET - Walter Bagehot Par ÉLUCID 27/05/2022 Économie 27/05/2022 Partagez A+ A- Parcourir la bibliothèque Dans Lombard Street. Des crises financières et du moyen d’y remédier (1873), Walter Bagehot présente les principes fondateurs de la Banque d’Angleterre et du rôle qu’elle se doit de jouer dans une crise financière. Podcast Réservé aux abonnés Cet ouvrage, souvent considéré comme la Bible des banquiers centraux, constitue la première analyse des fondations du système financier encore en place aujourd’hui. L’auteur y décrit le fonctionnement de la finance, en se basant sur des exemples concrets, et met en lumière les fragilités et les forces des mécanismes à l’œuvre. Deux cent cinquante ans après, ces écrits sont riches d’enseignements. Les relire à la lumière des récentes crises financières et des politiques monétaires qui prévalent depuis plus de dix ans permet de comprendre que les dangers et les précautions qu’il aurait fallu prendre étaient parfaitement identifiés dès l’origine. Ce qu’il faut retenir : Le système financier est alimenté par le crédit et, en cas de panique, il s’enraie, car plus personne ne veut prêter d’argent de peur de ne pas être remboursé. Les réserves numéraires jouent donc un rôle primordial dans l’enrayement ou du moins la limitation d’une panique. Les banques n’ayant pas les moyens ni l'intérêt à conserver une grande quantité de dépôts, elles les confient à la Banque d’Angleterre. De cette manière, il revient à la Banque d’Angleterre d’assurer la garantie d’une quantité suffisante de ces dépôts pour faire face aux crises. Le système financier repose donc très largement sur cette institution. Néanmoins, la Banque d’Angleterre est gérée comme une banque classique, avec un conseil d’administration tenté de se comporter comme un conseil d'actionnaires, négligeant sa responsabilité publique quant à sa réserve, et par conséquent sous-estimant l’ampleur potentielle d’une panique si elle n’est pas prête à y faire face. Il est donc particulièrement dangereux de confier cette responsabilité à un nombre restreint de personnes. Lisez la suite et soutenez un média indépendant et sans publicité Je m’abonne Accès illimité au site à partir de 1€ Des analyses graphiques pour prendre du recul sur les grands sujets de l’actualité Des chroniques et des interviews de personnalités publiques trop peu entendues Des synthèses d’ouvrages dans notre bibliothèque d’autodéfense intellectuelle Et bien plus encore… Déjà abonné ? Connectez-vous Partagez
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